Photo de Lord Myke Jam Frappe Juste Avec « Je plaide coupable » : un plaidoyer pour l’humanité

🇬🇵 Lord Myke Jam Frappe Juste Avec « Je plaide coupable » : un plaidoyer pour l’humanité

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Si tu vibres avec Gaël Faye, que tu te perds dans les introspections de Youssoupha, ou que tu planes avec les confessions stellaires de Nekfeu, alors tu vas sûrement accrocher à l’univers de Lord Myke Jam. Dans son titre coup-de-poing « Je plaide coupable », l’artiste guedelopuéen nous tend un miroir brut et poétique, sans filtre ni détour. Un texte dense, presque incantatoire, où l’on reconnaît nos contradictions, nos silences, nos responsabilités étouffées dans le bruit du monde.

Sur une prod minimaliste et grave, aux accents trap discrets et nappes synthétiques lancinantes, Lord Myke Jam déploie une voix claire, posée, et pourtant chargée d’une urgence lucide. « L’empathie n’est plus, nos cœurs choqués restent de marbre » — une phrase comme un uppercut qui reste collée au cœur. Le clip, quant à lui, accentue le propos avec des images fortes, entre prison mentale, société de consommation et appel à l’éveil collectif. Une expérience visuelle et sonore intense, qu’on te recommande chaudement ici sur Minute Cover.

Du slam aux étoiles : Lord Myke Jam trace sa Rue des Roses

Originaire de La Guadeloupe, Lord Myke Jam est bien plus qu’un artiste émergent : c’est un haut-parleur du sensible, un poète électrique qui transforme chaque silence en cri doux. Depuis son projet « Allô la Terre ici la Lune », il voyage entre slam, chanson urbaine, électro, et rap conscient — une musique hybride, profonde, accessible, faite pour bouger autant que pour réfléchir.

Avec son style qu’il qualifie lui-même de « pop humaniste », il prépare déjà son retour avec un nouveau projet intitulé « Rue des Roses », attendu pour octobre/novembre 2025. Une nouvelle mue artistique qui promet de marier la poésie brute à des ambiances musicales encore plus abouties. En attendant, fonce découvrir ses lives, ses textes, ses prises de parole : Lord Myke Jam n’est pas qu’un nom à retenir, c’est une présence à vivre. L’ère du plastique s’effrite, place aux voix qui vibrent pour de vrai.

Lord Myke Jam sur les rĂ©seaux…